Saint-Germain-des-Prés les pieds dans l’eau (2)
Baptiste Essevaz-Roulet et Christian Chevalier.
Cet article reproduit intégralement l’article diffusé dans le bulletin de la Société historique du 6eme, no 23, année 2010.
DEUXIEME PARTIE : ALBUM CATALOGUE
Figure 22 : L’ancien pont des Saints-Pères. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 23 : Les médecins sur le pont du Carrousel : « Quelle belle épidémie cela va nous donner au moment de la morte saison ! » (L’Assiette au Beurre, 1910).
Figure 24 : La rive gauche, l’Institut et l’ancien pont des Saints-Pères inondés. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 25 : L’ancien pont des Saints-Pères inondé, du côté des guichets du Louvre. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 26 : La Seine est si haute que les péniches sont à la hauteur du tablier du pont des Saints-Pères. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 27 : Après la crue, repêchage des épaves au pied du pont des Saints-Pères. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 28 : Le 23 janvier 1910, une péniche prisonnière sous une arche du pont des Saints-Pères. Cliché M. Roll ; coll. Jacques Rollin.
Figure 29 : La foule devant le pont des Saints-Pères. Coll. Christian Chevalier.
Figure 30 : Les bateaux solidement amarrés aux quais sont parfois aussi hauts que les tabliers des ponts. Ici, le Pont-Neuf photographié le 25 janvier 1910. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 31 : La structure métallique légère du pont des Arts le rend particulièrement vulnérable au point qu’il est fermé au public. Ici, les ingénieurs profitent de la proximité de l’eau pour effectuer leurs relevés. Coll. Christian Chevalier.
Figure 32 : Le pont des Arts interdit au public. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 33 : Le quai des Grands-Augustins. Au fond, la place Saint-Michel et sa foule de curieux. Au premier plan à gauche, un tas de pavés constitué pour empêcher la voûte du chemin de fer d’Orsay de se soulever sous l’effet de la pression de l’eau. Coll. Christian Chevalier.
Figure 34 : Le quai des Grands-Augustins. Les péniches dépassent le parapet. Coll. Jacques Rollin.
Figure 35 : À l’angle de la rue Séguier et du quai des Grands-Augustins, les ouvriers s’affairent. Coll. Jean Nouvel.
Figure 36 : Établissement d’une estacade quai des Grands-Augustins. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 37 : Le peintre au travail sur le quai des Grands-Augustins. Coll. Christian Chevalier.
Figure 38 : Sauvetage à l’échelle, 29, quai des Grands-Augustins. Coll. Christian Chevalier.
Figure 39 : La graineterie au débouché de la rue Gît-le-Cœur. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 40 : La police barre l’accès de la rue Gît-le-Cœur : « On ne passe pas ! ». Coll. Jean Nouvel.
Figure 41 : La librairie académique à l’angle de la rue Séguier pendant la crue. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 42 : Le Quai des Grands-Augustins et la rue Gît-le-Cœur. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 43 : Quai Conti et, à droite, l’Institut. Cliché inédit de Paul Gers, Conservatoire régional de l’image de Lorraine.
Figure 44 : Les Parisiens viennent en curieux observer la montée des eaux, ici quai Malaquais. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 45 : Les curieux prennent la pose sur un îlot urbain, devant le palais de l’Institut. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 46 : Quai Malaquais, un barrage de secours. Coll. Christian Chevalier.
Figure 47 : Côté quai Malaquais, la rue Bonaparte en direction de la rue Jacob, constellée de pavés de bois flottants. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 48 : Inspection des dégâts de la crue au débouché de la rue Bonaparte et des quais. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 49 : La rue des Beaux-arts, en direction de la rue de Seine. A droite, l’ « Hôtel » où Oscar Wilde est décédé 10 ans plus tôt. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 50 : Cour d’honneur de l’école des Beaux-arts. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 51 : Ancienne chapelle de l’école des Beaux-arts. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 52 : Repêchage des pavés de bois rue Bonaparte, le 30 janvier 1910. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 53 : La rue Visconti inondée le 28 janvier 1910. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 54 : Le procureur Louis Dagoury posant dans la cour de son immeuble au 21, rue Visconti. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 55 : Le carrefour formé par les rues Jacob et Bonaparte. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 56 : Le carrefour des rues Jacob et Bonaparte encombré de pavés flottants : la boucherie Bonaparte est à gauche de l’image. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 57 : Un calicot annonce l’installation provisoire de la boucherie au 29, rue Bonaparte dans la galerie Heibel. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 58 : Un calicot annonce l’installation provisoire de la boucherie au 29, rue Bonaparte dans la galerie Heibel. Cliché inédit, coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 59 : L’eau arrive devant la crémerie du 27, rue Bonaparte et la galerie Heibel au 29 qui héberge provisoirement la boucherie Bonaparte. Coll. Christian Chevalier.
Figure 60 : La boucherie Bonaparte rénovée en 1911. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 61 : La rue Bonaparte à l’angle de la rue Jacob. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 62 : La rue de Seine au débouché de la rue de l’Échaudé. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 63 : La rue de Seine photographiée au début de la décrue, au niveau de l’ancien passage du Pont-Neuf (à droite de l’image), remplacé depuis par la rue Jacques Callot. Coll. Christian Chevalier.
Figure 64 : Le bureau de tabac inondé, au 21, rue de Seine. « Depuis lors, les allumettes prennent mal » écrit la correspondante amusée. Coll. Didier Marsen.
Figure 65 : La rue Mazarine inondée. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 66 : À l’intérieur de l’Institut, on organise des passerelles pour traverser les cours. Coll. Nouvel.
Figure 67 : Dans l’impasse de Conti, des passerelles permettent aux riverains de sortir de chez eux. Coll. Christian Chevalier.
Figure 68 : La rue de Seine vers le sud, juste derrière l’Institut. À gauche, le débouché de la rue Mazarine et les immeubles aujourd’hui démolis de la rue de Seine. Coll. Christian Chevalier.
Figure 69 : La rue de Seine au niveau des tous premiers immeubles : à gauche, les murs de l’Institut. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 70 : Une évacuation rue de Seine aux abords de l’Institut. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 71 : À ce triple carrefour, la Seine est au maximum de la crue. On y a édifié un savant ouvrage de fragiles passerelles devant la pharmacie de la rue de Seine. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 72 : Il faudra attendre entre un à deux mois pour pouvoir profiter du café à 10 centimes ou de la bière à 20 du bistrot d’en face. La rue Jacob, à droite la rue de l’Échaudé, en fond la rue de Seine. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 73 : Les radeaux de la débrouille, rue Jacob (la rue de l’Échaudé est à gauche, la rue de Seine au fond à droite). Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 74 : Un petit mot, au dos d’une carte de la rue Jacob, signé par M. Bilbault, gérant de la pension de famille du 21, rue Jacob, actuellement hôtel des Marronniers. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 75 : Cette photo, prise depuis le tout début de la rue Jacob montre, au fond, l’hôtel du Maroc et l’hôtel des Pyrénées sur la rue de Seine et à gauche, l’hôtel de Cronstadt (là où est inscrit « Au carrefour Jacob »). Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 76 : Rue Jacob près de la rue des Saints-Pères (derrière le photographe) avec à droite, l’entrée de l’hôpital de la Charité et son portail aux deux colonnes. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 77 : L’hôpital de la Charité, à droite, à la place de l’actuelle faculté de Médecine, rue Jacob, à l’angle de la rue des Saints-Pères. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 78 : La rue Mazet inondée. Au fond, la rue Saint-André-des-Arts. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 79 : La rue Gît-le-Cœur inondée, animée et joyeuse. Coll. Baptiste Essevaz-Roulet.
Figure 80 : Un ravitaillement rue Saint-André-des-Arts. Coll. Christian Chevalier.
Figure 81 : Rue Saint-André-des-Arts, l’entrée de la rue Séguier. Coll. Christian Chevalier.
Figure 82 : La rue Saint-André-des-Arts le 29 janvier 1910. La rue revêt lors de la crue « un incroyable aspect de dignité sévère » (Henri Lavedan). Cliché inédit, coll. François Gentille.
Figure 83 : La rue Saint-André-des-Arts entièrement inondée, vue depuis un immeuble de la rue de Buci. À gauche, la rue Dauphine, et au loin, l’église Notre-Dame qui émerge de la brume tel un vaisseau fantôme. Coll. Christian Chevalier.
Figure 84 : Le 4 février 1910 : à l’ancien séminaire de Saint-Sulpice, l’atelier de confection de vêtements pour les sinistrés, organisé par les dames de la Croix-Rouge. Cliché M. Roll ; coll. Jacques Rollin.
Figure 85 : Le 4 février 1910 : à l’ancien séminaire de Saint-Sulpice, les dames de la Croix-Rouge se font institutrices des enfants des sinistrés. Cliché M. Roll ; coll. Jacques Rollin.
Figure 86 : Le 4 février 1910 : à l’ancien séminaire de Saint-Sulpice, les dames de la Croix-Rouge prodiguent leurs soins aux bébés des sinistrés. Cliché M. Roll ; coll. Jacques Rollin.